Invité par le festival d’été Park Poétik organisé sur les communes de St Gilles et Forest, co-produit par le Centre d’art Le WIELS, Centre d’Art Contemporain à Bruxelles en Belgique, avec l’aide de Dounia Mojahid, les 2 performances Blue Street Pantone ont lieu à Forest à 17h et 20h le 9 août 2025.
Le parcours chorégraphique démarre au carrefour de la Chaussée d’Alsemberg et de l’avenue Albert / Besme accueillant la place de la station de métro Albert. La voile turquoise, choisie en écho à la charte graphique historique du festival et son logo nuage, s’accroche en rideau sous le large porte à faux du complexe sportif CENTR’AL qui domine la place et vient fermer le volume cubique dans l’espace public devant l’entrée, englobant les escaliers mais ouvert à l’arrière pour la circulation. Une longue improvisation dansée sur cette place-carrefour va taquiner jusqu’aux usagers de la terrasse du Bar du Matin. La voile est démontée à vue et le public s’engouffre sous les arbres du terre-plein central de l’avenue Besme.
La Fontaine aux 3 Nymphes avec leurs postures élégantes, et le petit amphithéâtre de la place Albert Markt face au parc, accueillent la 2e installation. La chorégraphie magnifie la volupté du drapé, du cercle, des courbes du corps et l’énergie de l’eau. La voile mise en boule est ensuite déroulée rageusement sous le bois des grands pins à l’entrée du Parc. Puis le public déploie la grande rivière bleue et teste différentes actions, arrêts, vagues, zigzag, repos/sieste/déjeuner sur l’herbe, courses/accélérations qui seront mises en jeu sous les yeux du public non prévenu, assis aux rayons du soleil couchant dans la grande prairie du Parc de Forest. Le personnage métamorphosé en zentaï s’invite en dansant entre les groupes de badauds éparpillés sur l’herbe puis embarque la voile vers son installation finale, comète flottante entre 2 branches éloignées, l’une horizontale basse et l’autre très haute, atteinte grâce au lancer de petit sac d’un élagueur local. Dance floor collectif sous la canopée !
Solo – 60 min / Musiques : Rhapsody in Blue, George Gershwin – Ay Dilbert !, Aziza Mustafa Zadeh – Song of Whales, Laboreal – 524 Hz, Laboreal – In Stitches, The Bad Plus – Beginn’, Måneskin. Photos : Gilles Viandier & Dounia Mojahid. Remerciement aux bénévoles de la chaleureuse équipe du festival.
BRUXELLES (B), Park Poétik 2025
Invité par le festival d’été Park Poétik organisé sur les communes de St Gilles et Forest, co-produit par le Centre d’art Le WIELS, Centre d’Art Contemporain à Bruxelles en Belgique, avec l’aide de Dounia Mojahid, les 2 performances Blue Street Pantone ont lieu à Forest à 17h et 20h le 9 août 2025.
Le parcours chorégraphique démarre au carrefour de la Chaussée d’Alsemberg et de l’avenue Albert / Besme accueillant la place de la station de métro Albert. La voile turquoise, choisie en écho à la charte graphique historique du festival et son logo nuage, s’accroche en rideau sous le large porte à faux du complexe sportif CENTR’AL qui domine la place et vient fermer le volume cubique dans l’espace public devant l’entrée, englobant les escaliers mais ouvert à l’arrière pour la circulation. Une longue improvisation dansée sur cette place-carrefour va taquiner jusqu’aux usagers de la terrasse du Bar du Matin. La voile est démontée à vue et le public s’engouffre sous les arbres du terre-plein central de l’avenue Besme.
La Fontaine aux 3 Nymphes avec leurs postures élégantes, et le petit amphithéâtre de la place Albert Markt face au parc, accueillent la 2e installation. La chorégraphie magnifie la volupté du drapé, du cercle, des courbes du corps et l’énergie de l’eau. La voile mise en boule est ensuite déroulée rageusement sous le bois des grands pins à l’entrée du Parc. Puis le public déploie la grande rivière bleue et teste différentes actions, arrêts, vagues, zigzag, repos/sieste/déjeuner sur l’herbe, courses/accélérations qui seront mises en jeu sous les yeux du public non prévenu, assis aux rayons du soleil couchant dans la grande prairie du Parc de Forest. Le personnage métamorphosé en zentaï s’invite en dansant entre les groupes de badauds éparpillés sur l’herbe puis embarque la voile vers son installation finale, comète flottante entre 2 branches éloignées, l’une horizontale basse et l’autre très haute, atteinte grâce au lancer de petit sac d’un élagueur local. Dance floor collectif sous la canopée !
Solo – 60 min / Musiques : Rhapsody in Blue, George Gershwin – Ay Dilbert !, Aziza Mustafa Zadeh – Song of Whales, Laboreal – 524 Hz, Laboreal – In Stitches, The Bad Plus – Beginn’, Måneskin. Photos : Gilles Viandier & Dounia Mojahid. Remerciement aux bénévoles de la chaleureuse équipe du festival.